Tu disais lorsque j’aime
C’est sans compter, sans limite
Tu as aimé une jeune femme
Sans compter, sans limite
Elle était dans ta vie
Elle partageait tes moments sublimes
Elle était la tout simplement
Elle illuminait ta vie
Tu lui disais souvent je t’aime
Tu lui disais « tu es moi même »
Tu lui disais tes états d’âme
Tu comptais ta vie, la sienne
Vous attendiez un signe l’un de l’autre
Mais il ne vint jamais
Ou peut être n’a-t-il pas été saisi
Au moment où il fallait
Tu t’es senti trahi, sali, d’avoir espéré
Cet amour jamais vécu
Avec l’être tant aimé
Et tu as fuit pour ne pas souffrir
Tu y repenses encore parfois
Tu te résignes à oublier
Mais jamais tu ne reviendras
Pour ne pas revivre des moments difficiles
Elle, elle est là
A attendre un appel
Même si elle sait qu’il n’arrivera jamais
Et qu’elle vivra sans lui