Nuit bénédictine illumine ma vie nostalgique
Tes mimiques me font imaginer le rêverie,
Ces grandes routes me font te fuire de manière divine,
Ta sobriété me réconforte,
Tes nuits d'été me ravissent,
Ta sérénité m'enivre d'avantages chaque jours,
Sans peur et avec une pointe de solitude, les frissons de désire parcourent mon corps,
Contre ou pour, ta beauté soigne plus d'un,
Tes nuits italiennes sont féeriques,
Ta couleur ocre du matin se reflète dans des eaux stagnantes,
Mais ses improbables consciences qu'hantes nos vies brisent à regrêt nos rêves,
Les ruines du passé montre que tu n'as pas changée,
Tes bruits de soie, de velours me frolent ma peau,
Tombes des apparences femme solitaire, sans visage, ombre inconnu,
Tous ces chemins ratés par méconnaissance,
Tous ces moments que j'ai béneficié,
A toutes ces nuits échouées dans le passé,
Plaisir de te regarder, de te posséder, a t'attendre,
Me laissant bercé sur la fine fleur du coton,
Tes bateaux déportant d'autres visages, d'autres souvenirs,
Au bout d'immenses voyages, je suis la,
Les marchands de fantôme hantes ton ciel azuré,
En dormant sous un arbre je te vois arriver et repartir,
Femme inconnue, je t'aime depuis toujours et ce jusqu'à la fin de ma vie,
Jusqu'à mon dernier souppir,
Toutes ces nuits d'hiver, cette pluie,
alors je me permet de te dire pour longtemps encore que tu es la, à moi,
Ton brumeux souvenir, si lointain que je pleure,
Mais les aiguilles se croisent et s'associent pour me donner vie,
une vie d'édié a toi, la seule femme,
J'admire ta tendresse pendu à un pupitre,
Ta beauté hatise mon Amour,
ta peau aussi douce que legère me sert,
Alors je regarde, espère, prie,
là où la blancheur et la pureté domine,
Tu m'emmene dans tes endroits pour me dire des "je t'aime",
Si magique que je ne t'oublies,
Je m'endort et ta sainte présence me vole à moi même,
Alors ne sois pas froide et ouvres moi tes bras..............................;