Cent ans en lui,
C'est comme cent ans de pluie,
C'est pourtant un ciel ordinaire,
Comme les autres,
Prier tous les soirs,
Et ne rien avoir,
Chanter la vie le dimanche,
Il y a mis pourtant son savoire-faire,
Ce fut peu,
A peine mieux,
Mettre du blanc sur ses années de guerre,
C'est un moment de son rêve,
Quelques musiques legères,
Son coeur couvert des fleurs que tu preferes,
A croire qu'il est né avec la peine des hommes,
Toujours présent,
Mais au fond de lui absent,
Juste quelques larmes d'ivoire,
Qui lui précisent qu'il est encore là.....................................